Envie de devenir propriétaire, mais stressé à l’idée de passer à côté d’une vérification cruciale ? Acheter une maison peut vite virer au casse-tête : fissures suspectes, diagnostics incompris ou coûts cachés peuvent transformer l’enthousiasme en cauchemar. Que ce soit pour repérer une toiture défaillante, décrypter le DPE ou prévoir les frais de notaire, je vous dévoile les 10 points à vérifier avant d’acheter une maison. Une check-list de super-héros de l’immobilier, en somme !

Acheter une maison : le guide pour un achat serein
Qui ne rêve pas d’une maison où poser ses valises, avec un jardin et un toit solide ? Acheter un bien immobilier, c’est une aventure, mais aussi un investissement exigeant des vérifications rigoureuses. Saviez-vous que 35 % des acheteurs découvrent des défauts majeurs après la signature ?
Le secret ? Une approche méthodique, comme un inspecteur en bâtiment avec sa liste de contrôle. Ce guide vous donne 10 vérifications incontournables : toit, fondations, installations électriques, diagnostics obligatoires ou risques liés au terrain. Chaque point est expliqué simplement, avec des exemples concrets. Pour les questions techniques (chauffage, plomberie), je ne saurais que trop vous recommander l’appel à un professionnel.
Objectif : éviter les mauvaises surprises et économiser des milliers d’euros en réparations. Prêt à devenir un acheteur invincible ?

1. Structure du bâtiment : fondations et charpente
Les fondations et murs porteurs
Avant de tomber amoureux d’une maison, vérifiez ses fondations. Une fissure en escalier dans un mur ou une déviation visible des murs intérieurs peut révéler des problèmes graves.
Observez les murs du sous-sol. Une fissure supérieure à 2 mm est un signal d’alarme. Courez chercher un expert si vous trouvez des traces d’humidité ou des déformations. Pensez à vérifier les portes qui coincent ou les sols qui penchent : ce sont des indices d’un tassement irrégulier.
La charpente et les combles
Montez dans les combles . Cherchez de la sciure fraîche ou des trous de 8 mm : ce sont les signatures du capricorne. Une charpente saine sonne le creux quand on la tape avec un tournevis.
Attention aux toits qui s’affaissent. Dans certaines régions, le diagnostic termites est obligatoire. En cas de doute, demandez un état parasitaire. Un expert coûte entre 150 et 300€, mais vous évite des frais colossaux. Si vous trouvez des trous de 3-4 mm, c’est peut-être la grosse vrillette. N’oubliez pas de vérifier l’humidité : un bois trop humide attire les champignons et accélère la dégradation.

2. Toiture, façades et menuiseries
La toiture
Une toiture en bon état est la première défense contre les intempéries. Vérifiez les tuiles ou ardoises déplacées, fissurées ou manquantes. Utilisez des jumelles pour inspecter les zones hautes. Une gouttière bouchée ou tordue laisse l’eau s’accumuler, fragilisant les fondations. L’âge est un critère clé : une ardoise naturelle dure 75 à 150 ans, une tuile en béton 30 à 50 ans. Exigez les factures des dernières réparations. Une rénovation coûte entre 50 € et 150 € par m² selon le matériau !
Les façades
Les fissures ou la peinture écaillée révèlent souvent des problèmes d’étanchéité. Les taches verdâtres signalent de l’humidité, liée à des remontées capillaires ou des infiltrations. Le salpêtre (dépôts blancs) indique une dégradation interne. Une façade mal isolée cause des pertes de chaleur (jusqu’à 25 % de surcoût énergétique) et favorise les moisissures, nuisibles à la santé. En cas de doute, un expert saura localiser les failles. Agir tôt évite de l’eau dans les murs !
Les menuiseries
Testez chaque ouvrant : une fenêtre mal scellée augmente votre facture de chauffage. Cherchez des courants d’air autour des cadres. Condensation entre les vitres ? Le double vitrage est percé (il dure en moyenne 20 à 25 ans). Les volets peuvent révéler certains défauts. Une fenêtre bien isolée réduit la consommation d’énergie de 15 à 30 % et atténue les nuisances sonores extérieures.

3. Intérieur : humidité, sols et luminosité
Traces d’humidité et qualité de l’air
Scrutez les coins et zones cachées : taches, odeurs de moisi ou cloques dans la peinture révèlent une humidité menaçante. Un diagnostic professionnel (300-800€) permet de détecter les fuites ou remontées capillaires invisibles. Testez aussi la VMC : une ventilation défectueuse aggrave les problèmes d’humidité et de santé.
Etat des sols et des cloisons
Marchez dans toutes les pièces : un plancher qui s’affaisse ou grince trop signale un défaut structurel. Tapotez les murs : une cloison sonore ou creuse mérite un examen. Les craquements du bois sec se résolvent souvent avec de l’huile de lin, mais les irrégularités profondes nécessitent un expert. Vérifiez aussi l’alignement des prises électriques.
Agencement et luminosité
Projetez vos meubles pour tester la circulation. Une cuisine ouverte améliore la clarté, mais vérifiez les prises encastrées. Priorisez un séjour sud ouest et des chambres est. Les miroirs et les tons clairs renforcent l’éclairage naturel. Visitez à différentes heures de la journée : une pièce sombre à midi manquera de confort quotidien.

4. Réseaux essentiels : électricité, plomberie, chauffage
Installation électrique : sécurité avant tout
Une installation électrique défectueuse peut coûter cher et mettre en danger. Vérifiez d’abord le tableau électrique : les disjoncteurs différentiels sont-ils présents et récents ? Une installation ancienne (plus de 15 ans) nécessite un diagnostic électrique obligatoire pour détecter des risques de court-circuit ou d’électrocution. Testez aussi les prises et interrupteurs : fonctionnent-ils sans grésillement ? Une rénovation électrique peut coûter entre 100 et 200 €/m². Mieux vaut anticiper !
Plomberie et assainissement : chasse aux fuites !
Ouvrez les robinets pour vérifier la pression d’eau. Inspectez les tuyaux sous les éviers et autour du chauffe-eau. Traces de calcaire ou fuites visibles ? Alerte. Si la maison utilise une fosse septique, le diagnostic d’assainissement non collectif est obligatoire. En cas de non-conformité, des travaux peuvent être exigés dans l’année après l’achat. Une fosse mal entretenue entraîne des risques sanitaires et environnementaux, sans oublier les amendes !
Le système de chauffage et de production d’eau chaude
L’âge du chauffe-eau (électrique, gaz ou pompe à chaleur) est déterminant. Un système datant de plus de 10 ans peut être énergivore. Demandez les factures d’entretien. Un chauffe-eau électrique coûte entre 350 et 500 € à remplacer, contre 600 à 1000 € pour un modèle à gaz. Un système mal entretenu entraîne des pics de consommation, avec des factures pouvant grimper de 30 %.

5. Diagnostics immobiliers : le carnet de santé de votre bien
Le DPE, star des diagnostics
Le Diagnostic de Performance Énergétique (DPE) classe les logements de A (économique) à G (onéreuse). Les écarts de consommation très importants. Les biens F et G, appelés « passoires thermiques », entraînent des dépenses élevées. Depuis le 1ᵉʳ janvier 2025, ils ne peuvent plus être loués sans travaux. Vérifiez ce diagnostic avant d’acheter.
Les autres diagnostics à ne pas négliger
Le Dossier de Diagnostic Technique (DDT) est obligatoire pour connaître l’état d’une maison avant l’achat. Ce document technique est essentiel. Le diagnostic Amiante (obligatoire avant 1997) repère des fibres dangereuses. Le CREP (Plomb avant 1949) concerne les familles. Le diagnostic Termites est requis en zones à risque.
| Diagnostic | Objectif | Durée de validité (pour la vente) |
|---|---|---|
| DPE | Informer sur la consommation énergétique et les émissions de gaz à effet de serre | 10 ans |
| Diagnostic Amiante | Détecter la présence de matériaux contenant de l’amiante | Illimitée (si négatif) |
| Diagnostic Plomb (CREP) | Repérer le plomb dans les anciennes peintures | Illimitée (si négatif) ou 1 an (si positif) |
| Diagnostic Électrique | Évaluer les risques de l’installation électrique de plus de 15 ans | 3 ans |
| Diagnostic Gaz | Évaluer les risques de l’installation de gaz de plus de 15 ans | 3 ans |
| Diagnostic Termites | Détecter la présence d’insectes xylophages | 6 mois |
| État des Risques et Pollutions (ERP) | Informer sur les risques naturels, miniers, technologiques, etc. | 6 mois |
| Diagnostic Assainissement | Vérifier la conformité du système d’évacuation des eaux usées | 3 ans |
Pour décrypter ces documents, faites appel à un professionnel : son expertise assure une lecture fiable.

6. L’environnement : le quartier et ses secrets
Un toit, c’est bien. Un quartier idéal, c’est mieux. Saviez-vous que 73% des acheteurs sous-estiment l’impact du voisinage sur leur quotidien ?
Mener l’enquête dans le quartier
Sortez les baskets ! Explorez à pied les 500 mètres autour de la maison. Repérez boulangeries, écoles (près de 80% des familles en priorisent une à moins de 10 minutes) et arrêts de bus. Un commerce à moins de 5 minutes à pied améliore la qualité de vie. Discutez avec les habitants. Un voisin sympa vous en dira souvent plus qu’un guide touristique !
Identifier les nuisances potentielles
Revenez à 8h, 13h et 20h. Une rue calme en journée peut devenir un boulevard à l’heure de pointe. Notez les bruits d’avion, passages de trains ou klaxons répétés. Testez la tranquillité le week-end soir. Un bar à côté ? Vérifiez les horaires de fermeture légaux. En zone urbaine, les nuisances dépassant les normes légales peuvent être contestées.
Anticiper l’avenir du quartier
La mairie est votre meilleure alliée. Demandez le Plan Local d’Urbanisme (PLU) : il révèle les projets de constructions. Un terrain vague peut devenir un parc (plus-value de 15%) ou un immeuble (baisse de 8% selon les notaires). 6 quartiers sur 10 en rénovation voient leurs prix grimper de 20% en 5 ans. Mais attention : un projet d’autoroute à 300m peut réduire la valeur de 12%.

7. Urbanisme, administration : les documents qui vous protègent
Plan local d’urbanisme (PLU)
Le PLU est la règle du jeu de la commune. Il dicte ce que vous pouvez ou ne pouvez pas faire : ajouter une extension, installer une piscine, changer la couleur des volets… Accessible gratuitement en mairie, ce document détermine si vos projets futurs sont réalisables. Ignorer le PLU peut vous exposer à des refus de travaux ou des mises en conformité coûteuses. Vérifiez-le avant d’acheter !
Servitudes : des droits et des devoirs cachés
Une servitude, c’est un droit caché attaché au terrain. Par exemple, un passage obligé pour un voisin ou une canalisation traversant votre jardin. Ces contraintes figurent dans le titre de propriété… mais peuvent être difficiles à repérer. Elles influencent votre usage du bien et sa valeur. Une servitude de passage réduit votre intimité. Une servitude de vue augmente votre luminosité. Faites-vous accompagner par un notaire pour identifier ces pièges ou atouts.
Autorisations de travaux et titre de propriété
Demandez systématiquement les autorisations de travaux (permis de construire ou déclaration préalable) pour les aménagements existants. Une véranda sans autorisation peut vous obliger à la démonter, même des années après l’achat ! Vérifiez aussi le dernier avis de taxe foncière pour prévoir vos dépenses. Une anomalie pourrait révéler des travaux irréguliers. Un professionnel (géomètre, architecte) peut vous aider à décrypter ces documents complexes.

8. Budget : anticiper les coûts cachés
Savez-vous que le prix affiché n’est que la pointe de l’iceberg ? Acheter une maison implique des dépenses souvent sous-estimées. Voici les postes à intégrer impérativement dans votre budget.
Frais d’acquisition : une évidence coûteuse
Les frais de notaire grimpent à 7-8 % du prix dans l’ancien. Pour un bien à 200 000 € en Île-de-France, cela représente environ 16 631 € (réduits à 15 608 € sous conditions). Ces frais incluent :
- Les droits de mutation (5,09 à 6,31 % selon le département)
- Les émoluments du notaire (environ 10 % des frais totaux)
- Les frais annexes (enregistrement, formalités diverses)
Attention : l’agence immobilière peut aussi peser 1 à 10 % du prix, selon les conventions.
Charges et taxes annuelles : une dépense invisible
La taxe foncière varie selon la localisation. Demandez les factures des 2-3 dernières années pour anticiper. En Île-de-France, un pavillon moyen paie entre 1 500 et 3 000 € par an.
Ne négligez pas non plus :
- Les consommations énergétiques (un logement mal isolé peut doubler vos factures)
- La TEOM (taxe d’enlèvement des ordures ménagères)
Enveloppe travaux : l’erreur à ne pas commettre
Pour une rénovation légère (peinture, sols), prévoyez 150 à 210 €/m². Une rénovation lourde (électricité, toiture) atteint très vite 1 000 €/m². A vos côtés, un professionnel identifiera des dégâts cachés (humidité, vétusté) pour un plan de financement réaliste. Sans oublier notre checklist maison qui vous guide pour anticiper les coûts d’entretien régulier !

9. Les « red flags » : vos signaux d’alarme
Avant de signer, identifiez les alertes majeures cachant des coûts ou risques. Un « red flag » n’interdit pas l’achat, mais justifie une expertise et une négociation.
- Fissures structurelles actives : diagonales larges de 2 mm+ sur les fondations. Elles révèlent des problèmes de sol ou construction. Un diagnostic évite des réparations coûteuses.
- Odeur d’humidité ou moisissures : révélatrices d’infiltrations ou de remontées capillaires, qui fragilisent la structure et nuisent à la santé. Un expert saura évaluer les travaux nécessaires.
- Anomalies électriques ou gaz : absence de disjoncteur différentiel ou de prise de terre, ou encore fuite de gaz ? Votre sécurité est mise en défaut. En cas de DGI (Danger grave et imminent), les réparations sont obligatoires.
- DPE G sans budget de rénovation : Un logement noté G est énergivore. Améliorer le DPE coûte 250-450 €/m². Un audit énergétique obligatoire guide les travaux (isolation, chaudière).
- Constructions non déclarées : Véranda ou extension sans autorisation (DP/PC). Risques d’amendes ou démolition. Vérifiez les autorisations et prévoyez une clause suspensive dans le compromis.
Un « red flag » n’est pas une fatalité. Consultez un pro, comparez les devis, et ajustez le prix. Mieux vaut dépenser 1 000 € en diagnostic que 50 000 € en travaux imprévus !

10. L’avenir de votre bien : réglementations 2025 et suivantes
Investir dans une maison aujourd’hui, c’est anticiper les évolutions réglementaires qui peuvent impacter votre budget et votre confort. A surveiller : le DPE et les aides à la rénovation.
Loi Climat et DPE
Locataire ? Depuis le 1er janvier 2025, les logements classés G au DPE ne peuvent plus être loués. Idem en 2028 pour les F. Pourquoi cela vous concerne ? Même si vous achetez pour y vivre, un mauvais DPE réduit la revente future. Imaginez vendre avec 13 % de valeur en moins, comme le montre l’étude réalisée en 2022 par Meilleurs Agents.
Acheteur ou vendeur ? Depuis cette année, un audit énergétique est obligatoire pour vendre un logement F ou G. Un diagnostic précis, qui détaillera les travaux nécessaires pour améliorer le classement DPE, un critère décidément décisif.
Les aides à la rénovation
Heureusement, des solutions existent. MaPrimeRénov’ et l’éco-PTZ financent jusqu’à 90 % des travaux d’isolation ou de chauffage écologique. Un audit vous guidera vers les rénovations prioritaires (isolation des combles, changement de chaudière…), avec des aides ciblées pour réduire vos frais. Anticiper ces évolutions, c’est garantir un investissement pérenne. En 2026, qui voudra acheter un logement non conforme ?

La contre-visite : votre meilleure alliée
La première visite d’une maison est souvent celle du « coup de cœur ». La contre-visite, elle, est celle de la raison. C’est l’occasion de passer au crible chaque détail, de lever les doutes et de sécuriser votre investissement. Et devinez quoi ? Vous n’êtes pas seul ! Accompagnez-vous d’un proche averti ou, mieux encore, d’un professionnel du bâtiment (menuisier, électricien, architecte). Son œil expert repérera ce que vous auriez manqué.
Checklist pour la contre-visite
- Appareil photo et carnet de notes : immortalisez chaque détail, même infime, et notez vos doutes. Un cliché vaut mieux qu’un long discours !
- Mètre laser : vérifiez les surfaces exactes et imaginez l’aménagement futur. Des mètres carrés mal mesurés peuvent coûter cher.
- Lampe torche : éclairez les recoins sombres (cave, combles, sous les éviers). C’est souvent là que se cachent les surprises.
- Petite bille : testez la planéité des sols dans les pièces de vie. Un sol qui penche peut cacher un défaut structurel.
- Liste de questions préparées : ne partez pas sans poser vos interrogations : ancienneté des installations, historique des travaux, nuisances sonores, etc.
Pour bien préparer cette étape, des guides sérieux listent les points critiques à vérifier. Et si vous avez un doute sur vos futurs projets de rénovation, n’hésitez pas à votre inscrire à notre newsletter !
L’achat immobilier est une étape majeure. Il est normal d’avoir des points d’interrogation. En passant au peigne fin chaque détail lors de la contre-visite, vous transformez l’excitation du rêve en sérénité concrète. Acheter une maison est une aventure exigeante mais passionnante. En suivant ces 10 étapes clés, vos rêves deviennent un projet solide. Vigilance et curiosité guideront votre visite, assurant un foyer serein. Avec enthousiasme, osez franchir le pas !

Acheter une maison : vos questions fréquentes
Que vérifier en priorité avant d’acheter une maison ?
La structure (fondations, murs porteurs, charpente), l’enveloppe (toiture, façades, menuiseries), les réseaux (électricité, plomberie, chauffage), les diagnostics (DPE, amiante, termites, ERP) et l’environnement (quartier, projets).
Le DPE 2026 change quoi pour l’acheteur ?
À partir du 1er janvier 2026, le coefficient électrique passe de 2,3 à 1,9. Résultat : une meilleure note pour les logements électriques, sans baisse pour les autres. Une mise à jour gratuite sera possible en ligne.
Un logement classé G peut-il être loué en 2025 ?
Non pour tout nouveau bail, renouvellement ou reconduction tacite depuis le 1ᵉʳ janvier 2025. Les baux en cours continuent jusqu’à leur échéance.
L’audit énergétique est-il obligatoire avant de vendre ?
Oui pour les logements classés F ou G depuis avril 2023, et pour les E depuis janvier 2025. L’audit propose des scénarios chiffrés de travaux.
Quels diagnostics sont exigés à la vente ?
DPE (10 ans), amiante (illimité si négatif), plomb (illimité si négatif/1 an si positif), électricité/gaz (3 ans), termites (6 mois), ERP (6 mois), assainissement (3 ans).
Quels “red flags” doivent alerter un acheteur ?
Fissures actives, humidité tenace, anomalies électriques/gaz, DPE G sans plan de rénovation, constructions non déclarées.
Quels travaux valorisent le plus une maison ?
Isolation (combles, murs), fenêtres performantes, chauffage décarboné (PAC, bois performant), ventilation efficace.